samedi 29 décembre 2007

Tambem sou da Zebreira !!


Nasci na Zebreira (Idanha à Nova, Castelo-Branco) em 27/04/1971, tenho 36 anos e vivo em Paris (França).

Sou da zona da Devesa (rua do Leão, perto da capela da Nossa Senhora da Piedade).

Por alcunhas sou filho do “Cá”, neto do “Joaquim Grande”.

Rede de Zebreirenses :
Newsletter - Grupo no Hi5


Com aquele abraço zebreirense de sempre, Adé CALDEIRA
Contactos :
E-mail - MSN - Skype

Partir : Fin des consultations !

Ce blog a donc maintenant un mois …

Sa création s’est faite après une longue réflexion et l’envie réelle d’un vrai et nouveau projet de vie … une aventure … une vision lointaine … Tel notre héros national portugais, Luís de Camões, qui découvrit le chemin maritime pour les Indes, sans savoir dans quelles eaux il irait baigner.

Vous qui avez suivi mes consultations auprès des personnes qui m’entourent, ou qui les lirez par la suite, vous ne pouvez imaginer comment cela a été difficile de prendre une décision.

D’abord sur la décision elle-même … puis ensuite sur la destination !

Des heures et journées entières à re-penser à ce que l’ont me disait, m’avertissait, m’encourageait ou me désespérait.

Les consultations sont donc maintenant terminées et mon choix est pris … tout comme la clôture ou la “remise des clefs” de l’ensemble de mes responsabilités associatives : assemblées générales à la troupe folklorique “Mar à Vista” de Marly le Roi et au Club de Jeunes Folkloristes Portugais … mais aussi mon départ effectif de la Fédération des Associations Portugaises de France.

Des moments difficiles, tous ces départs … une vie entière de dédicacions … un patrimoine humain qui restera à tout jamais avec moi dans les quelconques étapes que j’aurai à vivre maintenant.

Alors à vous tous et en forme de remerciements rythmés, je vous dédie les paroles de cette magnifique chanson d’Enrico Macias : “Les mendiants de l’amour”.

Car ma propre conclusion personnelle est vraiment dans ces paroles. Je suis réellement comme cela :
J'ai de l'amour plein la tête, un cœur d'amitié.
Ne cherchez pas à comprendre : écoutez-moi.
Dans toute la ville, on m'appelle le mendiant de l'amour.
Il n'y a pas de honte à être un mendiant de l'amour.




J'ai de l'amour plein la tête, un cœur d'amitié.
Je ne pense qu'a faire la fête et m'amuser.
Moi, vous pouvez tout me prendre : je suis comme ça.
Ne cherchez pas à comprendre : écoutez-moi.
Dans toute la ville, on m'appelle le mendiant de l'amour.
Moi, je chante pour ceux qui m'aime et je serai toujours le même.
Il n'y a pas de honte à être un mendiant de l'amour.
Moi, je chante sous vos fenêtres chaque jour.

Donnez, dodo-onnez ... Donnez, donnez-moi,
Donnez, dodo-onnez ... Dieu vous le rendra ...

Donnez-moi de la tendresse, surtout pas d'argent.
Gardez toutes vos richesses, car maintenant
Le bonheur n'est plus à vendre. Le soleil est roi.
Asseyez vous à ma table, écoutez-moi.
On est tous sur cette Terre des mendiants de l'amour,
Qu'on soit pauvre ou milliardaire, on restera toujours les mêmes,
Ces Hommes extraordinaires, ces mendiants de l'amour.
Moi, j'ai besoin de tendresse chaque jour.

Donnez, dodo-onnez ... Donnez, donnez-moi,
Donnez, dodo-onnez ... Dieu vous le rendra ...

Alors, laissez-moi vous dire la générosité.
C'est une larme de sourire à partager.
Je n'ai pas envie d'apprendre pour qui et pourquoi.
Je n'ai pas de compte a rendre, écoutez-moi.
Dans toute la ville, on m'appelle le mendiant de l'amour.
Moi je chante pour ceux qui m'aime et je serai toujours le même.
Il n'y a pas de honte à être un mendiant de l'amour.
Moi, je chante sous vos fenêtres chaque jour.

Donnez, dodo-onnez ... Donnez, donnez-moi,
Donnez, dodo-onnez ... Dieu vous le rendra ...

Partir : les bons conseils de H

Partir : les bons conseils de G

Partir : les bons conseils de F

Partir : les bons conseils de E

Partir : les bons conseils de D

Partir : les bons conseils de C

Partir : les bons conseils de B

Partir : les bons conseils de A

vendredi 14 décembre 2007

Sérgio Correia : Uma amizade forte !

Que dizer do Sr. Eng. Sérgio Correia ... ?

De um simples contacto virtual por MSN ... nasceu um colega com quem gostava bastante de falar : mesmas ideias, mesma educação familiar, mesmas orientações de vida, mesmos conceitos de defesa do folclore português e da portugalidade em geral.

E de colega em colega, o tempo foi passando ... virando uma autêntica amizade pura baseada no respeito e na cumplicidade.

Hoje seria um meio-primo e um meio-irmão ... ou seja, considero-o como fazendo parte da minha família :

Deixo apreciar esta personagem, que muito tem valor para mim :

(actuando um "brinco" da sua freguesia amada : Camacha, Madeira)


E aqui de concertina, num Vira de Vila Verde (Minho) :

Partir : Os bons conselhos de António Cerqueira

Partir : les bons conseils de Patricia da Silva

Partir : les bons conseils de Sandra Gonçalves

lundi 10 décembre 2007

Jean-Paul Sartre : Erreur sur la liberté de la presse

“La première chose sur laquelle on fait beaucoup d’erreurs, c’est qu’on croit que la liberté d’information, le droit à la liberté de la presse, c’est un droit du journaliste.
Mais pas du tout, c’est un droit du lecteur du journal.
C’est-à-dire que ce sont les gens, les gens dans la rue, les gens qui achètent le journal, qui ont le droit d’être informés.
Ce sont les gens qui travaillent dans une entreprise, dans un chantier, dans un bureau qui ont le droit de savoir ce qu’il se passe et d’en tirer les conséquences”

Jean-Paul Sartre, 4 janvier 1973
lors de la conférence de presse de présentation du quotidien Libération
Cité par François-Marie Samuelson, “Il était une fois Libé”, Seuil, 1979

dimanche 9 décembre 2007

Musique du jour : Mourir sur scène (Dalida)

Après avoir longuement discuté avec Cindi de Seia et mon autre MMA, Patrick de Barros, et en présence de l'autre MMA, Gepetto de Almeida ... puis en revenant chez moi et sur mon ordinateur et en repensant à cette longue conversation, un peu triste c'est vrai, que nous avons eue ensemble ... celle-ci m'a inspiré la copie de cette chanson de l'artiste Dalida : "Mourir sur scène".

Petit clin d'oeil aussi aux scènes/podiums où se produisent la troupe folklorique "Mar à Vista" à laquelle je participe aussi ...


Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Quand le rideau un jour tombera, ... Je veux qu'il tombe derrière moi.

Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Moi qui est tout choisi dans ma vie ... Je veux choisir ma mort aussi.

Il y a ceux qui veulent mourir un jour de pluie ... Et d'autres en plein soleil,

Il y a ceux qui veulent mourir seuls dans un lit ... Tranquille dans leur sommeil

Moi je veux mourir sur scène devant les projecteurs
Oui je veux mourir sur scène, ... Le cœur ouvert tout en couleur
Mourir sans la moindre peine ... Au dernier rendez-vous
Moi je veux mourir sur scène ... En chantant jusqu'au bout


Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Tous les deux on se connaît déjà, ... On s'est vu de près souviens-toi.

Viens mais ne viens pas quand je serais seule
Choisis plutôt un soir de gala ... Si tu veux danser avec moi

Ma vie a brûlé sous trop de lumière ... Je ne peux pas partir dans l'ombre

Moi je veux mourir fusillée de laser ... Devant une salle comble.

Moi je veux mourir sur scène devant les projecteurs
Oui je veux mourir sur scène, ... Le cœur ouvert tout en couleur
Mourir sans la moindre peine ... Au dernier rendez-vous
Moi je veux mourir sur scène ... En chantant jusqu'au bout

Mourir sans la moindre peine ... Du corps bien orchestré
Moi je veux mourir sur scène, ... C'est là que je suis née.



Partir : les bons conseils du MMA - Patrick de Barros

Partir : les bons conseils de Cindi de Seia

jeudi 6 décembre 2007

Partir : les bons conseils de Caroline Gonçalves

Ce soir, grande discussion avec Caroline Gonçalves. Caroline, c’est la grande sœur de Sandra.

J’attendais beaucoup de cette conversation, mais comme elle est très souvent “occupée”, je désespérai un tout petit peu qu’elle me consacre juste un “mini-temps”. Là tout va bien : elle est disponible !!

Je sais d’avance qu’elle va m’encourager dans mon choix, reste à savoir quelle position elle va réellement prendre et quelles options de vie elle va me conseiller.

Elle aussi, tout comme sa sœur Sandra, au crépuscule d’un matin elle est partie avec son baluchon sur le dos vers une contrée lointaine, “à l’autre bout du monde” comme elle dit … Marmeleiro (!!), petit village du département de Tomar, au Portugal.

A cette époque, j’avais moi aussi suivi son parcours avec ses embuches … puis ses bonnes nouvelles. Elle travaille aujourd’hui à Alverca (Portugal) pour un grand groupe de distribution français, bien implanté en France, au Portugal et en Europe.

Que d’arguments m’a-t-elle avancé !! Certains très sérieux, d’autres risibles, mais d’autres encore hilarants … Tout un bonheur de discuter avec Caroline. Mais tout un bonheur, vraiment !!

Son aide m’a été précieuse … son choix aussi … je sais maintenant à quoi m’en tenir : si je suis son aide, ben … il me faut l’héberger pour ses prochaines vacances !! Rien que ça …

Ah-lalalala, moi qui croyais demander à une amie des conseils … et elle m’a pris pour son agence de voyage !!

Non, bien sûr que non … j’exagère un tout petit peu … elle a été d’un grand soutien : je l’ai écouté avec un silence studieux et j’ai réfléchi à toutes ses précieuses argumentations.

Elle aussi, après de longs intermèdes de réflexion, a penché pour … le Venezuela !!

La touche “Venezuela” s’enfonce de plus en plus … faut que je regarde demain les prix d’avions !!

Toutefois, j’ai toujours les yeux tournés avec l’Afrique … et j’ai reçu 2 propositions d’ONG pour partir là-bas.


mercredi 5 décembre 2007

CLP TV : Une chaîne pour les Portugais dans le Monde





clp tv promoçao - wideo


Le 25 novembre 2006, la communauté portugaise dans le Monde disposera de sa propre chaîne.

Son nom : CLP TV (pour Canal de Langue Portugaise). En France, on estime à 2 millions de personnes le public visé par cette petite chaîne généraliste (un film le lundi, deux JT par jour, etc.) dont 80 % des programmes seront lusophones, le reste en français sous-titré portugais (une exigence du CSA).

CLP TV est née de l'initiative d'une vingtaine d'entrepreneurs français d'origine portugaise désireux d'offrir à leurs compatriotes une chaîne établissant un lien avec leur culture d'origine.

La chaîne de la lusophonie (8ème langue parlée dans le monde) sera disponible sur CanalSat, sur le câble et, plus tard, à destination des pays européens où le « marché lusophone » est estimé à 14 millions de personnes (dont le Portugal).

Selon une étude Ipsos de mars 2006, l'attente des lusophones et luso-descendants (la deuxième génération de l'immigration portugaise) est réelle : 47 %des personnes du public ciblé disent envisager de regarder la chaîne « tous les jours ou presque », et 68 % « trois à cinq fois par semaine ».

Informations sur CLP-TV :
www.clptv.com

Adaptation du texte-source : www.lepoint.fr



dimanche 2 décembre 2007

Partir : mais où ?

Si vous êtes lecteur de ce blog et si vous le suivez régulièrement, vous savez que je suis à peine de quelques dizaines de jours à partir vers une “inconnue”.

Ce choix, cela fait 4 ans que je me suis décidé … la vie en a décidé autrement … mais en ce moment c’est plus que sûr : je partirai … mais vers où ?

Alors pour mener à bien mon projet : je consulte beaucoup quelques amis.

4 pays se distinguent :
- le
Brésil
- le Burkina-Faso
- le Ghana
- le Venezuela

Ce départ, ce n’est pas pour du tourisme … c’est un départ voulu et souhaité … me changé de cette vie de tous les jours, ces tracas qui me minent, ces préocupations quotidiennes qui m’entourent : voir et vivre !

Un départ assez long : 3 mois … 6 mois … un an … plusieurs années …

L’avenir nous le dira !

Partir au Brésil

Parlons du Brésil, maintenant …


Le
Brésil est le pays le plus vaste et le plus peuplé d'Amérique latine. Avec une superficie de 8 547 877 de kilomètres carrés et 190 millions d'habitants, c'est en même temps le cinquième pays du monde par la superficie et par le nombre d'habitants. Le Brésil couvre la moitié du territoire de l'Amérique du Sud, et il en regroupe plus de la moitié des habitants. Il partage des frontières avec tous les pays d'Amérique du Sud à l'exception du Chili et de l'Équateur.

Le Brésil possède des caractéristiques communes avec la plupart des autres pays d'Amérique du Sud : c'est un pays en majorité catholique, la densité humaine moyenne est assez faible et la population est fortement urbanisée. Pourtant, à la différence de la plupart de ses voisins, le Brésil ne fut pas une colonie espagnole, mais portugaise et la langue nationale est le portugais.

République fédérale et libérale, le Brésil présente de forts contrastes géographiques et sociologiques. Alors qu'une grande partie du territoire est encore couvert par la forêt Amazonienne pratiquement vide d'hommes, la côte sud-est abrite les mégapoles de São Paulo et Rio de Janeiro. Les inégalités économiques sont parmi les plus élevées du monde.


Origine du mot « Brésil »

Brésil n. m. XIIe siècle. Bois exotique qui, séché et pulvérisé, donne une matière tinctoriale rouge. Au Moyen Âge, le « bois de braise » provenait des Indes via la Perse, importé dans les premiers temps en Europe par les Vénitiens. C'est la profusion d'arbres « couleur de braise »:(Caesalpinia echinata Lam) ainsi que l'important commerce qui en découlera, qui donnera son nom au Brésil des conquérants européens au XVIe siècle : Pau Brasil, le bois de braise (brasa en portugais). Ce bois fut activement exploité jusqu'à la fin du XVIIe siècle.


Politique

Le Brésil est une république fédérative présidentielle.

Le président est élu pour un mandat de 4 ans et peut être réélu une fois. Le président actuel est
Luiz Inácio Lula da Silva, surnommé Lula

Le droit de vote est facultatif pour les citoyens qui ont entre 16 et 18 ans et pour ceux qui ont plus de 65 ans, il est obligatoire pour les citoyens qui ont entre 18 et 65 ans.

Le législatif est exercé par la Chambre des députés et le Sénat. La Chambre des députés est composée de 513 sièges et le Sénat compte 81 membres.


Géographie

Le Brésil s'étend sur une superficie totale de 8 514 877 km². La majorité de la population vit près près de la côte de l'Océan Atlantique, qui, dans le sud, est bordée par la Serra do Mar. Le vaste plateau du Brésil occupe une grande partie du Sud et de l'Est du pays. Dans le Nord du pays, région de la forêt Amazonienne, les altitudes sont moins élevées. Les densités de population y sont globalement faibles.

La saison pluvieuse s'étale de novembre à mai au Nord, avec des pluies très importantes sur les forêts pluvieuses. Le sud connaît lui des étés chauds et des hivers froids (en juillet-août). De manière générale, le climat est légèrement plus tempéré en bordure de mer, et en altitude, et sous la canopée en forêt.

En plus de la partie continentale de son territoire et d'îles proches de la côte, le Brésil possède quelques petits groupes d'îles et d'îlots dans l'Atlantique : les Rochers de Saint Pierre et Saint Paul, Fernando de Noronha, Trindade et Martim Vaz ainsi que les petites îles de corail appelées atoll des Roches.

On distingue, pour des raisons pratiques, cinq grandes régions brésiliennes.


Sources :
Wikipédia



Partir au Venezuela

Puisque l’on est à l’heure des choix, parlons un peu du Venezuela …


Le
Venezuela est une république fédérale d'Amérique du Sud connue pour sa biodiversité et sa beauté naturelle. Selon la légende, Christophe Colomb, en débarquant au Venezuela, fut tellement épris par le paysage qu'il l'appela Tierra de Gracia (Terre de Grâce), qui est devenu le surnom du pays.


Histoire

La République bolivarienne du Venezuela est un pays de la côte nord de l'Amérique du Sud.

À l'origine, le territoire de l'actuel Venezuela était habité par plusieurs peuples, dont des Caraïbes, des Arawaks et des Cumanagotos.

Christophe Colomb fut le premier navigateur à atteindre cette région en 1498, lors de son troisième voyage. En 1520, les Espagnols commencèrent à coloniser les îles et les régions côtières. Coro, fondée en 1527, fut la première colonie d'importance. Les habitations des autochtones añu construites sur pilotis inspirèrent aux premiers explorateurs européens le nom de Venezuela, c'est-à-dire «Petite Venise».


Géographie

Si le pétrole a fait la richesse du Venezuela, c'est d'abord et avant tout sa géographie qui est son véritable trésor. Plaines, plateaux, haut sommets et plages de sable blanc offrent des paysages exceptionnels. Le Venezuela possède des frontières avec le Guyana à l'est, le Brésil au sud, la Colombie à l'ouest, et la mer des Caraïbes au nord. Sa capitale est
Caracas.

Le territoire vénézuélien s'étend depuis les environs de l'équateur jusqu'au nord du onzième parallèle. Il possède également 72 îles, dispersées dans la mer des Caraïbes et dans l'océan Atlantique, regroupées dans les Dépendances Fédérales. Margarita est la plus grande et la plus importante. On peut distinguer trois grandes régions : la côte et les Andes au nord et à l'ouest, les plaines au centre et le massif guyanais au sud-est. La pointe septentrionale de la cordillère des Andes culmine à 5007 m au Pico Bolívar. Elle enserre le lac Maracaibo et se prolonge vers l'est en longeant la côte. Les grandes plaines (les llanos (plaines en espagnol)) occupent le nord du bassin de l'Orénoque et de ses affluents Arauca et Apure. Le fleuve se jette dans la mer des Caraïbes par un énorme delta marécageux qui occupe toute la région nord-est du pays (Delta Amacuro ). Le sud du bassin de l'Orénoque, avec son affluent Caroni, est sauvage et souvent touristique. On y trouve un des hauts lieux touristiques du pays : les chutes de Salto Angel hautes de près de 1000 mètres, reconnues comme les plus hautes chutes d'eau au monde. Des pluies diluviennes, suivies d'importants glissements de terrain dans des zones fortement peuplées proche de l'aéroport international Simon Bolivar (La Guaira - État de Vargas) ont fait des milliers de morts en décembre 1999. Cette triste page de l'histoire vénézuélienne est couramment appelée « La Tragédie » par les autochtones.


Économie

Le Venezuela est un important producteur de pétrole et est membre fondateur de l'
OPEP (créée sous l'impulsion du Venezuela notamment).

Le pays a subi une grave crise économique dans la décennie 1990. Alors que le taux de progression moyen du PIB PPA (parité de pouvoir d'achat) dans le monde entre 1990 et 2002 était de 57 %, le Venezuela est l'un des rares pays où celui-ci a baissé, passant de 6 169 dollars par habitant en 1990 à 5 380 dollars en 2002 et 4 740 dollars en 2003. La hausse des cours du pétrole depuis 2004 a permis de stopper cette baisse et de financer les programmes socio-économiques du gouvernement, mais l'inflation est toujours élevée avec 17 % en 2005.

Le Venezuela fait partie du
Mercosur dont il est un membre effectif depuis 2006.


Politique

Le président actuel est
Hugo Chávez Frias, depuis le 2 février 1999 (réélu le 30 juillet 2000 et le 3 décembre 2006). Une tentative de déstabilisation économique aboutit à un coup d'Etat en avril 2002 qui avorte très rapidement suite à une forte mobilisation populaire en faveur du retour de Chávez.

Hugo Chávez a remporté toutes les élections avec 60 % des voix environ depuis celle qui l'a porté au pouvoir. L'opposition provoque un référendum révocatoire contre le président comme le permet la Constitution bolivarienne en août 2004. Le "non" l'emporte à 59.06% des suffrages. Lors des élections régionales de 2004, seules deux régions ne se sont pas prononcées en faveur de son parti. L'État est théoriquement une Démocratie participative. Depuis que l'opposition a boycotté les élections à l'assemblée nationale du 4 décembre 2005, le parlement est dominé par le Mouvement de la cinquième république (Movimiento V [Quinta] República), lequel a remporté 116 sièges sur 167. Les élections à la présidence de décembre 2006 ont confirmé Chávez à la présidence du pays et ces élections ont été unanimement reconnues comme un processus “transparent, équitable, démocratique” par l´Organisation des États Américains, l’Union Européenne, l’Association des Juristes latino-américains et la Fondation Carter.

La constitution vénézuélienne, inspirée des principes de
Simón Bolivar a été votée par référendum le 30 décembre 1999.

L'opposition antichaviste qualifie quant à elle ce régime de « démocratie absolutiste ».

En janvier 2007, le président a annoncé vouloir réformer en profondeur la constitution, afin d'aller vers la création d'une « République socialiste du Venezuela ».

Chaque État du Venezuela est dirigé par un gouverneur élu lors d'élections au suffrage universel.

La Constitution Bolivarienne de 1999 oblige le Gouvernement - dixit le discours officiel - à « renverser les données économiques qui, dirigées par le Fonds monétaire international (FMI) avaient été la cause de la "décennie perdue" (1985-1995), et ses terribles effets négatifs sur les populations et leurs systèmes économiques ». Le président
Chávez applique cette Constitution avec insistance. Son action politique est centrée sur le renforcement du rôle de l’État par le biais de nationalisations et la revalorisation du pétrole, principal produit d'exportation du pays. Elle vise à se libérer des impositions d’une lourde dette, qui grevait en 1998 50% du budget national, en la payant. Le gouvernement cherche aussi à satisfaire la dette sociale d’urgence : santé, alimentation, éducation (missions civico-militaires de grande pénétration populaire). De nouvelles lois sont rédigées concernant la réforme agraire, la banque centrale, l'exploitation d’hydrocarbures (gaz, pétrole), la fiscalité, le contrôle de monnaies et devises, etc.

En 2007,
Hugo Chávez demande des pouvoirs spéciaux qui grâce à une « loi d'habilitation révolutionnaire » lui permettent de gouverner par décrets sans passer par le parlement, dans les prochains dix-huit mois à partir du premier janvier 2007. Ces pouvoirs spéciaux sont limités aux thèmes sociaux (recentralisation des ministères de la santé, du logement et de la sécurité alimentaire), à la réforme agraire (inventaire, récupération et distribution de toutes les terres non ou mal exploitées à des coopératives) et à la récupération par achats des services publics et industries stratégiques, privatisées dans les dernières décennies (électricité, eaux, télécommunications, industrie pétrolière et minière : fer, aluminium or et diamants). Ce programme est déjà en marche depuis le premier janvier 2007, avec des répercussions variées : très critiqué par les grands propriétaires terriens, la plupart titulaires de documents parfois douteux, mais acceptés par plusieurs, en regard de l'apparente flexibilité appliquée dans chaque cas particulier par des arrangements à l´amiable. Dans l'industrie pétrolière, les partenaires commerciaux étrangers doivent désormais se contenter d'une participation minoritaire dans toutes les sociétés. Jusqu'à présent tous ont accepté, bon gré mal gré, y compris TOTAL-FINA qui exploite et modifie des pétroles très lourds de la ceinture de l'Orénoque.

Le 24 octobre 2007, le socialisme est inscrit dans la constitution du
Vénézuela : pour de nombreux opposants, il s'agit d'une remise en cause du pluralisme politique. Lorsque l'état d'urgence est proclamé, la liberté de la presse est suspendue, ainsi que les normes de la justice.


Sources :
Wikipédia


Partir en Afrique (Burkina-Faso)

Le Burkina Faso, également appelé Burkina, anciennement Haute-Volta, est un pays d'Afrique de l'Ouest. Le Burkina Faso est limitrophe de six pays : le Mali au nord, le Niger à l'est, le Bénin au sud-est, le Togo et le Ghana au sud et la Côte d'Ivoire au sud-ouest.

Ses habitants sont les Burkinabè (mot invariable). La capitale est Ouagadougou, située au centre du pays. Le Burkina Faso est membre de l'Organisation des Nations unies (ONU), de l'Union africaine (UA) et de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).


Étymologie

Ancienne colonie française, la Haute-Volta obtient l'indépendance en 1960. Le nom actuel du pays (Burkina Faso) date du 4 août 1984, sous la présidence du révolutionnaire Thomas Sankara. Il signifie la patrie des hommes intègres en langues locales mooré (burkina signifiant « intègre ») et bamanankan (faso se traduisant par « patrie »). C'est une combinaison dans deux langues principales du pays (le mooré parlé par les Mossi, ethnie majoritaire du Burkina et le bamanankan ou « langue des Bambara » ou des Dioula parlée dans la sous-région ouest-africaine). Burkinabè qui désigne l'habitant (homme ou femme) est en foulfouldé, langue parlée par les Peuls, peuple d'éleveurs nomades également présents dans de nombreux pays d'Afrique de l'Ouest.


Politique

Le président actuel, Blaise Compaoré, est au pouvoir depuis 1987 à la faveur d'un coup d'état au cours duquel son prédécesseur et frère d'armes, Thomas Sankara, a été tué. La période ayant suivi ce coup d'État a été dénommée "Rectification" par ses auteurs, en référence aux dérives et à l'autoritarisme dont le président Sankara a été accusé.

La Constitution du 2 juin 1991, adoptée par référendum, a instauré un régime semi-présidentiel ouvert au multipartisme :

Le Président du Faso, élu par le peuple pour cinq ans à un scrutin à deux tours. Il ne peut être réélu qu'une seule fois (sauf pour Blaise Campaoré).

L'Assemblée nationale est la seule instance législative du pays. Elle peut être dissoute par le président du Faso.

Il existe également une chambre constitutionnelle, composée de dix membres et un conseil économique et social dont le rôle est purement consultatif.


Sources : Wikipédia



Partir en Afrique (Ghana)

Le Ghana est un pays d'Afrique Occidentale. La langue officielle est l'anglais et la monnaie le cedi.

Le Ghana moderne n'a pas de liens géographiques ou historiques directs avec l'Empire du Ghana. Le premier, ancienne Côte d'Or, a été renommé par simple hommage au second.

L'un des principaux hommes politiques du Ghana fut Kwame Nkrumah. Le Président actuel du Ghana, John Agyekum Kufuor, a été réélu pour un second mandat en décembre 2004. L'ancien nom du Ghana, Côte-d'Or, vient des très nombreuses mines d'or du pays qui, avant d'être exploitées par les colons britanniques, allemands, hollandais et français, étaient abondamment utilisées par l'ethnie Ashanti, qui garde la tradition de splendides bijoux en or, tradition qui s'est propagée aussi chez l'ethnie voisine Baoulé.

Par ailleurs, le Ghana subit aussi l'esclavage : on peut toujours visiter les forts sur la côte, dont Elmina. L'esclavage des enfants, malgré une loi interdisant cette pratique, est toujours en vigueur particulièrement autour du lac Volta.


Histoire

Le Ghana fut une colonie britannique sous le nom de Gold Coast (côte de l'or). Après la première guerre mondiale, la Gold Coast s'agrandit d'une partie du Togo allemand. (Une autre partie du Togo revint à la France déjà présente au Dahomey (Bénin)).

Le Ghana est indépendant de la Couronne britannique depuis le 6 mars 1957.


Géographie

Le Ghana est situé sur le Golfe de Guinée, juste au nord de l'équateur. Il partage des frontières avec la Côte d'Ivoire à l'ouest, le Togo a l'est et le Burkina Faso au nord.

Le pays est constitué de denses forêts tropicales au sud et de savane au nord. Le climat tropical est extrêmement pluvieux, surtout en été. La Volta noire, la Volta blanche ainsi que les rivières Oti et Daka se recontrent au Ghana pour former le lac Volta. Le Barrage d'Akosombo, situé au sud du lac, produit beaucoup d'énergie pour le pays.


Politique

John Kufuor a été réélu président le 7 décembre 2004 et investi le 7 janvier 2005.

Le Ghana fait partie du Commonwealth.


Sources :
Wikipédia


Partir : les bons conseils de Manuel-João Barbosa

Partir : les bons conseils de Patricia da Silva

Partir : les bons conseils de Sonia do Cubo (II)

Comme prévu(*), mon amie Sonia do Cubo est passée me voir.

Comme à son accoutumée, elle me dit : “Adé, je n’ai qu’une heure !” … et comme à son accoutumée : elle en restera trois !!

D’abord nous faisons le point sur beaucoup de situations. C’est que je n’avais pas vu Sonia depuis très longtemps. Et arrive bien évidement un des motifs de cette rencontre : mon départ vers je-ne-sais-où-pas-encore !

Grande discussion avec LA Sonia … Grandes explications … Grands argumentaires … Tout cela c’est bien LA Sonia : tout savoir au moindre détail et avec beaucoup de curiosités.

Puis nous en venons au fait et je lui demande : “Alors ? Qu’est-ce que tu en penses et quelles sont tes conclusions ?”.

Réponse à LA Sonia : “Ben moi ch’sé pas moua !!” …. Ahlalala, LA Sonia toujours pareil : une si simple question et pour la réponse c’est un feuilleton en plusieurs épisodes !!

Cependant, nous discutons beaucoup du pourquoi elle est venue et ça c’est une toute autre histoire … Toutefois, elle m’a semblé intéressée par mes propositions … Lundi elle me répondra …

Quoi qu’il en soit, elle a tout de même voté pour un choix de départ presque à la fin de notre entretien : le Venezuela !


(*) Voir : “Partir : les bons conseils de Sonia do Cubo (I)


jeudi 29 novembre 2007

Partir : les bons conseils de Henrique Augusto

Alors que j’ai de plus en plus envie de partir en Afrique (d’ailleurs hier j’ai reçu 2 propositions d’ONGs), il semble que le “bouton Venezuela” vient encore de gagner 10 points.

Décidément, le Brésil se trouve de plus en plus éloigné de mes projets … et personne ne m’y encourage vraiment … ni cite cette destination dans les différentes conversations que j’ai avec mes contacts.

S’il y a une personne en qui je n’aurai jamais envisagé discuter avec lui de mes projets, c’est bien Henrique Augusto, Vice-Consul du Portugal à Strasbourg.

Il vient de me contacter téléphoniquement pour une tout autre affaire associative qui concerne le CJF et une correspondance que souhaite m’adresser M. le Consul-Général du Portugal à Strasbourg (ex-Consul-Général du Portugal à Caracas, Venezuela).

Henrique est un diplomate portugais que j’ai connu à l’occasion d’un colloque sur le folklore portugais et, ensemble avec beaucoup de son dynamisme et soutien, nous avons fait de cette formation au Consulat-Général du Portugal à Strasbourg un véritable succès pour les dirigeants associatifs locaux. De la relation associative, est née une relation de sympathie …

Alors nous discutons longuement de ce pourquoi il souhaitait m’avoir au téléphone puis, “palavra puxa palavra, conversa puxa conversa(1), me voilà en toute confiance à expliquer à Henrique mon nouveau projet de vie.

Comme tout bon diplomate qui se respecte, Henrique est attentif … il réfléchit … il analyse … il questionne … refait des analyses … re-questionne … : seul quelqu’un qui s’intéresse à mon projet de départ aurait cette attitude : et il l’a vraiment !

Nous parlons beaucoup du mouvement associatif portugais au Venezuela, de la situation politique et sociale actuelle, de la communauté portugaise locale, des entreprises lusophones installées là-bas … bref, tout y passe.

Puis et en note de conclusion de sa propre analyse, Henrique me dit : “Adé, le choix d'une destination ne peut que vous appartenir. Je ne peux qu’être un analyste de la situation et un soutien moral. Mais avec toutes vos compétences, votre force de connaissances et votre courage, je vous le dis tel que je le pense : il y a tellement à faire pour la communauté et les associations portugaises locales, que moi, si j'étais à votre place, je choisirai plutôt le Venezuela au-dessus de tout autre choix”.

Avec une telle déclaration de sa part, je me sens gonflé à bloc : un petit contact avec M. le Consul-Général du Portugal à Strasbourg s’impose. Il a été haut-diplomate portugais à Caracas … il a certainement des tuyaux.

Décidément, cette semaine la “case Venezuela” aura été très active … 10 points de plus !!


(1) “Palavra puxa palavra, conversa puxa conversa” est une expression populaire portugaise. Cela se traduirait non-littéralement par “les mots attirent les mots, les conversations attirent les conversations”. Elle s’utilise quand une discussion change au fur et à mesure de son thème initial.

mercredi 28 novembre 2007

Partir : les bons conseils de Sérgio Correia

Tiens, tiens … je viens à peine de publier ce post et voilà que je reçois une réponse par mail de l’une de mes connaissances à qui j’ai fait parvenir par ces voies virtuelles de mon désir de partir ...

C’est une longue réponse à toutes mes questions que me fait un ami du Venezuela, Sergio Correia.

Difficile de comprendre ce qu’il me dit et d’interpréter ce qu’il veut me dire … normal, il connaît la réalité locale et moi je me trouve à 8 000 Kms avec mon “petit problème et désir de partir”.

En gros, il me résume la situation du pays et réponds avec de grandes argumentations et de très longs paragraphes à mes préoccupations.

Malheureusement, je ne comprends pas tout ce qu’il veut me dire !!

Mais une chose est sûre et il est très clair là-dessus : “Si tu veux venir, viens ! Comptes sur moi pour tout ce que tu pourrais avoir besoin, je te soutiendrais dans la mesure de mes possibilités”.

Ah ben ça … j’avoue : je n’avais pas trop les yeux tournés vers le Venezuela mais plutôt l’Afrique ! Ce côté “travailler pour une ONG” me plaisait bien …

Venezuela, vous dites ? Mais pourquoi pas ? Faut que je me renseigne sur le pays … Après tout : pourquoi pas le Venezuela ?

Mon envie de partir grossie chaque jour et de plus en plus !! Faut que je me décide maintenant et arrêter de philosopher “Et pourquoi pas là ? Ou alors là ? Et là, ce ne serait pas mieux ?”.


Voir aussi : Sérgio Correia : Uma amizade forte !

Journée banale : 27/11/2007

Petite journée creuse aujourd’hui …

J’ai à peine parlé avec le Président de la Fédération FAPF, Prof. José-Maria da Silva, de tout ce qui se passe ici et des moyens à mettre en œuvre pour notre plan d’actions 2008.

Comme à son habitude, il a orienté mes travaux et mes argumentations …

Puis réunion avec le Trésorier, Manuel Sousa-Fonseca : rien de très intéressant quand les travaux tournent autours des projets, des financements et des demandes de subventions …

En somme une journée bien banale !

Ah si : en fin de soirée, une loooooongue conversation téléphonique avec ma “belle-sœur-préférée-de-toutes”, Élisabeth Caldeira

Tellement longue, qu’elle et moi sommes restés avec nos téléphones sans batteries.

Et oui, tout est “sans-fil” maintenant : en soirée et avant de se coucher, on passe plus de temps à cherché tous les chargeurs … et les appareils hautes-technologies qu’ils disent !!

Et puis comme d'hab., les nombreux appels téléphoniques quotidiens entre moi et mon MMA, Gepetto

Bref … la vie de tous les jours !!


mardi 27 novembre 2007

Partir : les bons conseils de Sandra Gonçalves

Sandra Gonçalves … “Ma Sandra” !

Youpi, elle vient de se connecter sur MSN, je vais pouvoir parler un peu avec elle.

Elle aussi sait exactement ce qu’il faut me dire … ou penser : elle a vécu une histoire presque semblable, l’envie de partir, une mutation à Nitéroi (Brésil) … puis un retour “presque forcé” (son chéri David l’a rejoint mais n’a pas de trouvé de travail sur place … donc retour à Nanterre !!).

Je me prépare donc et je sais exactement ce que je vais lui dire … j’entends déjà presque sa réponse : “Yeahhhh … superrrrr … Vas-yyyyyyyy … Fonceeeeeee”.

C’est tout “Ma Sandra” ça : impossible de lui dire “Je veux faire ça ou ça, j’ai un projet de ça ou ça” sans qu’elle ne m’encourage immédiatement.

Le CJF c’est beaucoup grâce à elle … sans oublier Olivier Ferreira, Carla Pinheiro et Sonia do Cubo.

Me voilà prêt à lui expliquer mais son statut sur MSN est en “occupé” et je respecte toujours ces statuts … je lui demande de pouvoir parler avec elle et s’il est “vraiment occupé ?”.

Réponse : “Je souis malâde avec un grrros rhube” !!

Bien que cela ne l’ai pas empêché de voir ma photo expressive sur mon pseudo et d’aussitôt me demander : “Qu’est-ce qu’il t’arrive ? C’est quoi cette photo ?

Zut … pas possible de parler avec elle aujourd’hui … je m’excuse de l’avoir déranger, lui souhaite de se rétablir au plus vite et je me déconnecte.

Pauvre Sandra … malade … elle qui est une pile d’énergie … moins que moi c’est vrai, mais une petite pile quand même !!

lundi 26 novembre 2007

Partir : les bons conseils de Sonia do Cubo (I)

Commence aujourd’hui un long périple de consultations …

Je commence par Sonia do Cubo … Elle me comprendra ; elle a déjà partagé tant de choses avec moi … des bonnes et des mauvaises !!

Longue conversation téléphonique : elle tombe de haut de mon projet de partir …

Cependant, et comme à son habitude, elle pense … réfléchit … trouve des arguments … voit des solutions partout … et juste après des résolutions qu’il faut mettre en œuvre immédiatement.

Nous parlons, discutons beaucoup … mais elle ne prend aucune décision …

Bref, c’est tout elle : aucune réponse définitive ne me parvient sur mes choix et comme d’habitude elle conclu sa conversation après plus d’une heure : “Tu es là demain ? Je t’appelle et je passe te voir !”.

Sonia c’est un peu cela : chaque chose en son temps, regardons tous les épisodes et voyons la vie en forme de feuilleton !

Demain sera donc un nouveau jour avec une nouvelle séquence …


Voir aussi : “Partir : les bons conseils de Sonia do Cubo (II)

Partir : les bons conseils de la belle-sœur

Ben c’est fait, grande discussion avec ma “belle-sœur-préférée-de-toutes”, Élisabeth

Étrangement et sans qu’elle ne le sache : elle rejoint exactement les arguments de Gepetto … ah-lalala c’est deux là … toujours d’accord entre-eux !! À la limite du complot !!

Mon frère Patrick aussi y est allé de ses conseils ... ça alors !!

Bon c’est décidé, je vais suivre leurs conseils … Plus que très peu de temps pour faire le tour de la question … et surtout préparer le départ …

Quelle date importante pour moi, pourvu que je ne me trompe pas …

Enfin ces dernières semaines cela va être les grandes consultations de “ma garde très-très rapprochée” : Carlos Pai-João, Sandra Gonçalves, Patricia da Silva, Sónia do Cubo, Virginie Fernandes, Nuno-Miguel Pereira, sans oublier Caroline Gonçalves et Cindi de Seia

Je connais déjà d’avance les réactions de certains : mais tant pis, j’assume !

Puis il y a Patrick de Barros … Vraiment je ne partirai pas sans m’expliquer avec lui : nous étions si proche … il faut que nous le restions !!


Partir : les bons conseils du MMA - Gepetto de Almeida

Quelle discussion aujourd’hui avec Gepetto de Almeida (vous vous rappelez, c’est mon MMA !! Meuh nan, ce n’est pas les Mutuelles du Mans … ah-lalala, c’est “Mon Meilleur Ami”).

De plus, qu’hier j’ai “encore” manqué une répétition de MàV (pour Mar à Vista, ma troupe de folklore portugais [Nazaré]) … La réunion du Bureau National de la FAPF a terminé à minuit !! Bénévolat qu’ils appellent ça !!

On a beaucoup parlé avec Gepetto : de moi surtout, de mes projets de partir, pour où … comme d’habitude il est de précieux conseils. Dire qu’il a 20 ans le petit !! Ben à 20 ans il en a plus dans la “cabeza” que certains de mon âge.

Je pense que c’est fait, mon choix est presque décidé sur quels horizons je vais partir … faut juste que j’affine quelques points !!

Puis faut que j’en parle à ma “belle-sœur-préférée-de-toutes”, Élisabeth (c’est la seule que j’ai, vu que j’ai qu’un seul et unique frère, Patrick !!).

J’aurais tellement envie aussi d’en parler à Patrick de Barros … un ami sincère lui aussi !! Sauf qu’une sale histoire associative est venue un peu pourrir notre relation amicale. Mais je ne désespère pas de m’expliquer avec lui un jour : un ami c’est cela aussi, cela sait pardonner … tant pour lui que pour moi !!

Puis Carlos Pai-JoãoSandra Gonçalves ... et sa soeur, Caroline Gonçalves ... Patricia da SilvaSónia do CuboVirginie FernandesNuno-Miguel PereiraCindi de Seia ... ouh-lalala que de monde à consulter pour être sûr que je ne me trompe pas !! C’est que les arguments de Gepetto sont merveilleux : mais il faut tout de même être sûr …

Partir : mais quel choix ?

C’est le grand dilemme de ma vie en ce moment …

C’est sûr, je souhaite partir … Mais après ? Quelle destination choisir !!

Simple de prendre une orientation de projet de vie … mais bien difficile est la décision ...

Tellement de chose à mettre de côté au niveau personnel, familial, associatif et professionnel …

Et puis, il y a ma petite nièce chérie, Anaïs … sans oublié Manon !!

Vraiment, faut que je parle avec ma belle sœur Élisabeth … Elle, au moins, sait m’écouter et me conseiller.

Puis, il y a Gepetto : mon super MMA (et non ce ne sont pas les Mutuelles du Mans … bien que l’origine de ce surnom vient de là … mais c’est “MMA”, pour : “Mon Meilleur Ami” … et même en portugais “Meu Melhor Amigo” … et aussi en espagnol “Mi Mejor Amigo”).

Partir en Afrique

Ou alors partir en ... Afrique !!
Et pourquoi une mission en coopération de solidarité internationale ?

Para para o Brasil ?

E porque não escolher o Brasil ?
São Paulo ? ... Conheço uma que até só espera isso ... [se reconhecerá !! kkkkk]

Partir para Venezuela ?

Me pasa por la cabeza : partir ... màs para al donde ?
En Vénézuela ?

C'est moi !


Ben oui, c'est moi ... / Olà, sou eu ... / Holà soy yo ...
Juste pour commencer ce blog, une photo sympa de moi !
Só para començar este blogue, uma foto simpática de mim
Solo para empienzar este blog, una foto simpática de yo !

Et puis mes coordonnées / E as minhas coordenadas / Y mis coordenadas
caldeira@fapf.org - adecaldeira@hotmail.com
www.adecaldeira.blogspot.com
Tél : 0870447330 ... +33870447330